Pour beaucoup d’entre vous, Richard Gotainer est ce drôle d’énergumène qui sautillait sur les plateaux télé, les clips et les publicités des années 80. Si on passe outre les préjugés, si tant est que vous ayez sur lui quelques aprioris, écoutez les titres qu’il a crée ces dernières années et vous serez surpris par la finesse des messages, par sa capacité à jouer avec les mots. C’est ça, j’ai trouvé, Gotainer est un amoureux des mots. Il le prouve dans ce titre "Un chat, un chat", sur notre propension à employer des euphémismes.
Je ne sais pas si c’est typique de la France ou si le monde entier s’est converti à la langue de bois, au politiquement correct, mais des dizaines de mots ont disparu des écrans radars, remplacés par des périphrases, des euphémismes. Quelle hypocrisie ! Mais ne peut-on pas appeler un chat un chat ?
Richard Gotainer, Un chat, un chat (2018)
Le pire, ce sont ceux qui n'appellent pas une grenouille une grenouille...
RépondreSupprimerBouuuuhhhh ! Les vilains ^^
Supprimeroui mais ... mais appeler un vieux, un vieux, une grosse une grosse ... un pédé, un pédé, c'est irrespectueux, réducteur et insultant
RépondreSupprimerEt appeler une chatte une chatte ? Tu trouves ça comment ?
SupprimerAdolescente j'adorais Gotainer... "Les papis sur un banc" très jolie
RépondreSupprimerDans banga ya des fruits juste s'qu'il faut .... ;-)
Mon dieu que c'est loin tout ça...
Mais non c'était hier et maintenant c'est à toi de le faire découvrir à ton petit-fils ! ^^
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