Comme en 1983, j’ai jeté mon cartable au fond du placard avec la
ferme intention de ne pas l’ouvrir avant deux mois. J’y ai laissé mes
insatisfactions, mes frustrations, mes angoisses avec la ferme intention
de les bouder pendant deux mois.
J’ai tout fermé à double tour
et je compte bien maintenant prendre la clé des champs. Je vais prendre
du bon temps, éviter toute contrainte et m’adonner à des activités que
j’ai choisies, qui me font envie. Je vais enfin prendre les rênes de mon
existence, reprendre le contrôle, faire ce qui me plait. Je
n’oublierais pas de ne rien faire car c’est ce que je fais de mieux.
« Voilà l’été ». « L’été sans fin ». « L’été indien ». A moi la liberté, le farniente, la « dolce vita ».
Ryan Paris, Dolce Vita (1983)
Vacances !!! Yihaaaaaa !!!
RépondreSupprimerLes cartables au feu et lesprofs au milieu ...
RépondreSupprimerOk je sors !^^
J'adooooooooore ! :)
Ah ben carrément : l'autodafé ! ^^
Supprimerah... j'avais loupé...
RépondreSupprimerla fameuse connexion post-disco italienne de ces années 80...
toute ma jeunesse (mais j'étais peut-être déjà vieux à cette époque)
C'était pourtant le tube pour choper en 1983 et même après !!!
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