« Osez, osez Joséphine
Osez, osez Joséphine
Plus rien ne s'oppose à la nuit
Rien ne justifie »
J’ai
lu quelque part, que cette chanson était un hymne à la femme, à la
liberté, à la liberté de la femme. Alors, je me suis mis à écrire ce qui
suit en écoutant le regretté Alain Bashung, parti trop tôt, sans doute «
à l’arrière d’une berline ».
Pas question qu’elle s’ankylose, Il
faut qu’elle ose sans appuyer sur pause. Il faut qu’elle ose presser
sur le bouton, sur le bouton de rose. C’est comme cela que j’ose
imaginer Joséphine. En bouquet de roses virtuelles.
Elle taquine,
elle explose et ne craint pas les ecchymoses. Elle questionne, elle
exige autre chose que de la prose. C’est comme ça que j’ose imaginer
Joséphine. En virtuose de l’amour.
Joséphine est celle qui ose,
celle qui s’affranchit. Jamais Joséphine ne se justifie quand elle
s’exonère des règles et des articles du Dalloz.
Alain Bashung, Osez Jospéhine (1991)
Bashung <3
RépondreSupprimerSes textes, sa musique évoquent tant de chose... 1991 !!! Déjà !
Quand j'y pense, c'était hier
SupprimerQuand je me vois dans le miroir, c'était il y longtemps...
Alain Bashung, lui je l'adore... :-*
RépondreSupprimerMerci de ce moment musical avec lui <3
Quel univers ! ^^
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