Avec la vague de chaleur qui
règne sur le pays depuis quelques jours, on n’a qu’une envie, rallier les
points d’eau les plus proches à recherche d’une source de fraîcheur rassérénante.
Un étang, un lac, une rivière, un torrent, l’océan ou encore une piscine.
C’est justement au bord d’une piscine
que Sébastien Brégeon a situé l’action
de sa nouvelle, voilà qui tombe à pic !
Avec cette chaleur, la moiteur
ambiante contribue à exacerber les sentiments, de désirs pour certains mais
surtout de colère et de vengeance pour d’autres.
Deux gamins insupportables, comme
on en croise tous les jours, qui pourraient même être les vôtres, et une drôle
de vieille femme tout de noir vêtue qui a peut-être la solution pour que les
abords de la piscine de l’hôtel retrouve sa tranquillité.
Les enfants sont parfois bien cruels entre eux. Surtout
quand une âme sombre les pousse un peu…
En quelques pages, à partir d’une
situation somme toute banale, Sébastien
Brégeon installe l’air de rien une ambiance qui se délite inexorablement et
finit par sombrer dans l’horreur absolue. Mais c’est important de le dire, sans
jamais sombrer dans la facilité du gore. C’est fluide, fin et
diaboliquement efficace.
Après vous avoir passé le goût des balades en forêt, Sébastien Brégeon pourrait bien vous
passer l’envie de fréquenter les piscines… En tout cas, un conseil, méfiez-vous de L’eau qui dort !
Merci à Sébastien Brégeon pour cette découverte au format epub !
Si cette nouvelle vous tente, vous pouvez la télécharger ici !
"L'eau monte en trombe à plus d'un mètre. Paul voit de nouveau un visage
translucide se former, plus distinctement cette fois-ci. Deux yeux ronds
aussi vides que le néant ornent une grande bouche ouverte sans dents.
Elle ne cesse de s'allonger donnant l'impression de vouloir l'aspirer."
"Un gros bouillonnement en surface et puis plus rien, plus aucun mouvement. Des sons métalliques résonnent et s'élèvent du fond de la piscine, ressemblant à s'y méprendre à des rires."
Un autre avis !
Après la forêt la profondeur des eaux ! Tu ne nous épargnes pas !
RépondreSupprimerUne petite brasse avec ta Cristina Diabolica ? ;-)
Glou glou glou :) !
Attention à la "bombe" !... ;)
SupprimerOu ça, une bombasse ?!
SupprimerJuste au dessus, une brune !...
SupprimerBrune et bombasse ?!
SupprimerGros seins non siliconés, j'espère...
Mince, si je ne peux plus aller ni dans les bois ni à la piscine, que va-t-il me rester ?
RépondreSupprimerEuhh, la montagne ?
SupprimerVite, ma bouée ! En cette période de canicule, nous faire peur avec l'eau de la piscine, ce n'est pas cool petite grenouille ;)
RépondreSupprimerC'est uniquement pour avoir plus de place dans la piscine...^^
SupprimerEn tout cas, moi, je me suis toujours méfiez de l'eau, qu'elle dorme ou pas...
RépondreSupprimerSurtout si elle s'approche de ton verre...
SupprimerJe garde ce message, un livre qui me plairait certainement. Je n'aime pas l'eau mais avec ces chaleurs cela fait du bien de se plonger dans la piscine ... avant de lire ce livre.
RépondreSupprimerBonne soirée. FLaure
Une petite nouvelle à lire entre deux plongeons...
SupprimerBonne soirée à toi aussi !
Voilà une belle découverte :) !
RépondreSupprimerRafraichissante avec ça ! ;)
SupprimerJe note tout de suite ces nouvelles. J'ai redécouvert le format il y a quelque temps, et j'apprécie d'en lire une après un gros pavé. Et en plus s'il y a du fantastique, c'est pour moi!
RépondreSupprimerUne lecture idéale quand on a un petit quart d'heure à occuper !
SupprimerTiens, je vais me la télécharger celle-ci aussi. J’avais aimé l’ambiance de l’autre qui comme tu dis s’installe l’air de rien.
RépondreSupprimer« Deux yeux ronds aussi vides que le néant ornent une grande bouche ouverte sans dents » - hum… ravissant….... On en perdrait son bikini à moins! ^^
Tu ne verras plus les vieilles dames près des piscines de la même façon....
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